Eric Mestrallet, fondateur d’Espérance banlieues était l’invité de l’animateur de Radio France Maghreb jeudi 20 mai pour participer à l’émission « Le Vingt-Minuit ». Cela a été l’occasion de présenter le projet, d’en rappeler l’origine, d’évoquer la spécificité des écoles et l’attractivité du projet dans le contexte actuel.

 « Le déclic à l’origine de la création du projet ? Les maires s’inquiétaient pour leur commune, les élèves quittaient l’école, celle-ci ne créait plus l’unité, ne rassemblait plus. L’idée est venue avec quelques personnes de proposer un modèle alternatif et complémentaire pour redonner envie d’aller à l’école, de construire ensemble notre société commune. »

 « Nos écoles sont ouvertes à tous, il n’y a aucune sélection sur le niveau. Une école Espérance banlieues est à taille humaine : elle compte 15 élèves par classe, maximum 150 dans une école. Cela permet aux professeurs et directeurs de connaitre chacun des élèves et créer un vrai lien de confiance entre eux et avec les parents ».

Dans la mise en œuvre de son projet pédagogique, les écoles Espérance banlieues revendiquent une singularité : combiner, jour après jour, au sein d’une véritable communauté de vie d’adultes et d’enfants, un enseignement, une éducation et un attachement à la culture française. C’est donc la cohérence des actions relevant des trois piliers qui vient apporter aux enfants la motivation, la sérénité et la sécurité nécessaire à leur épanouissement scolaire. L’objectif est d’aider les jeunes à grandir pour devenir des citoyens libres et responsables, capables de s’engager avec fierté pour bâtir leur avenir et celui de notre pays.

Tel et ce que sous-entend notre conviction : « Chaque enfant est une promesse ». Les enfants sont les acteurs de demain. En veillant à ce que chaque enfant développe ses talents et sa confiance en lui, nous contribuons à construire une société elle-même unie et fière de ce qu’elle est.

>> Pour en savoir plus sur notre modèle pédagogique, cliquez ici !