Le mouvement La 4ème ligne a interviewé Espérance banlieues sur les enjeux de la crise du COVID-19 ainsi que les initiatives prises par l’association dans les quartiers prioritaires. Solidarité, respect et égalité sont les fondements de la construction des relations chez Espérance banlieues.

Vecteur de développement, l’école peut créer et nourrir le lien social dans les quartiers, au-delà des communautarismes.  Nous constatons que nous contribuons très activement à limiter le nombre d’élèves en décrochage dans les quartiers prioritaires ».

En savoir plus : « Covid-19 – Tous mobilisés pour limiter le nombre d’élèves ‘perdus’ dans les banlieues »

« Sans l’aide du professeur, nous ne tiendrions pas » révèle une maman d’élève au directeur du Cours la Fontaine à Saint-Etienne. L’équipe du Cours Colibri à Reims se sent aussi très soutenue par les parents.
« Merci à tous les enseignants et la directrice pour les appels. Nos enfants sont vraiment entre de bonnes mains. »

L’éducation dans les quartiers prioritaires doit être poursuivie avec toute l’ambition que nous portons pour chaque enfant. 

« Un lien fort entretenu avec les familles ainsi que des petits effectifs au sein de nos écoles garantissent une relation privilégiée entre parents, professeurs et élèves. L’enjeu est de maintenir ce lien entre le professeur et l’élève. La créativité et l’innovation déployées par nos professeurs et nos directeurs sont remarquables et les parents nous témoignent quotidiennement de leur satisfaction et admiration. Certains rituels, propres au projet des écoles Espérances banlieues, ont aussi été adaptés à ce nouveau mode d’enseignement à distance. La grande majorité des enfants tiennent à porter leur uniforme chez eux, avant de se mettre au travail.”